Chapitre I : Le débarquement.

Abatzar Sonim , tel est mon nom , prisonnier n°221788 déstiné à la prison d'une planète dont j'ai rarement entendu parler... Dathomir

- Prisonnier Sonim vous êtes à destination ! annonca un soldat de l'empire d'une voix forte.

Je me dirige alors vers le convoi de débarquement. A l'heure qu'il était , je ne savais encore rien de ce qui m'attendrais .
J'entre dans la navette, qui se meut peu a peu en direction d'une planète d'un vert vitreux parsemé de taches couleur sable.
Soudain, quelque chose me vint à l'esprit. Comment cela se faisait-il que cette si petite planète, isolée dans la galaxie paraissait à ce point surveillée par les hommes de Zsinj.

Une voix s'eleva alors dans l'air.

- Les prisonniers à destination de Dathomir sont priés de se rendre à la porte de débarquement D-14.

Une escorte de gardes arriva et une majeure partie des Prisonniers s'executa quelques réticents furent vite calmés par les salves des blaster de l' Empire.

Un vieux prisonnier m'interpella.

- Cette planète est maudite ! Il ne faut pas y aller ! Plutôt Mourir !
- Enchanté, moi c'est Abatzar.
- Vous me prenez pour un dingue c'est ça ?
- Cette planète n'est rien d'autre qu'une planète avec une prison, un peu trop bien surveillée à mon goût.
- Je vais vous racontez... une chose... que peu de gens savent.


Je voyais le vieux prisonnier parler à voix basse.

Il commenca alors son récit.

- Mon arrière grand-père connaissait un homme qui lui avait parlé de cette planète et du... enfin de la... bref de ce qui s'y trouve. Des êtres autres qu'humains vivent ici des...

L'homme hésita quelque instants puis reprit.

... sorcières dotées d'après mon grand père d'un pouvoir et d'une force incroyable .


Le veillard continua son récit durant tout le voyage vers la prison.

- Voila vous savez tout maintenant ! Aufait Je m'appelle Drunko Amitor.

Les présentations faîtes les deux hommes arrivèrent à la prison.

- Amitor et Sonim cellule 2145, déclara un homme de Zsinj.

Un garde nous escorta dans une partie isolée de la prison.
Je reangais mes rares possesions et pris place dans mon lit .

Je savais que mon destin était lancé !
Première nuit et premiers calvaires, j'arrivais à peine à m'endormir, et encore lorsque j'y parvenais enfin , j'étais réveillé quelques minutes plus tard , par les mouvements des troupes de choc de l'empire . Je ne suporterais pas ça bien longtemps je le savais , quelque chose en moi me faisait pressentir que je ne resterais pas dans cette prison bien longtemps.
Plusieurs semaines sont passées , les troupes de choc obtenant toujours de nouveaux accords pour notre libération, se réjouissaient déja. Mais ils ne se doutaient à aucun moment de ce qui allait se passer. Moi non plus il faut dire.

Chapitre II : Du prisonnier à l'esclave

Un cri déchire la nuit , une explosion se fait entendre tout près... Je me réveille en sursaut.
" Que faire ?" pensais-je.
Je voyais les ombres des barreaux de ma cellules clignoter au sol . Des éclairs !!des éclairs projetaient leur lumière sur les barreaux qui déchiraient l' obscurité de ma cellule avec leurs ombres . Pris de Panique , j'accourus immédiatement au chevet de mon compagnon de cellule et le reveillais.
- Une attaque !! Des rebelles sûrement ! lançais je.
A cet instant précis , deux gardes impériaux se ruèrent dans les couloirs de la prison .
- Ahhhhhh !! hurlais l'un d'entre eux.
L'un d'eux se prit le pied dans la gamelle destinée à me nourrir et tomba lourdement au sol, sans se relever. Son compagnon ne prit même pas la peine de l'attendre il traversa la porte du fond de la pièce et s'eloigna. C'est à ce moment-là que je vis de quoi ces soldats sensés être des troupes de choc, avaient peur. Une femme, plutôt belle, à l'apparence gracieuse, marchait paisiblement en direction de la porte du fond . Arrivé au pied du corps inerte du soldat, elle s'arrêta, s'accroupit, et ôta le casque de celui-ci .
-Dommage, celui-ci aurait été un bel esclave.
Lorsque son regard soutint le mien, je savais que c'étais fini, la vie de prisonnier allait prendre fin, pour être remplacée par une vie d'esclave.
La femme ouvrit la grande grille métallique qui séparait mon compagnon et moi de la libérté. A peine la porte fut-elle ouverte que Drunko, se rua sur le blaster du soldat au sol pour se suicider. C'est là que je compris pourquoi les troupes de choc avaient ainsi peur de ces créatures. Oui, car à l'instant où mon ami se jeta sur l'arme, elle prit son envol après que la gracieuse femme ait prononcé quelques paroles.
D'une voix douce, elle prit la parole .
- Bonjour, je suis Meriana Kaldoc, vous m'appartenez désormais, vous êtes mes esclaves, je vais revendre ton compagnon.
Elle me fixa des yeux puis ajouta :
-Toi en revanche, tu es un beau mâle, je vais te garder. Bien, allons rejoindre mes soeurs maintenant.