Il y'a longtemps dans une galaxie lointaine, très lointaine...

La paix régnait en maître depuis l’âge d’or des sith d’Exar Kun, il avait plusieurs années maintenant.

Sur une planète de la bordure extérieure, sur Derilla plus précisément, un jeune garçon était allongé dans une prairie. Il contemplait le ciel.

Il semblait avoir cinq ou six ans. Ses cheveux étaient châtain et ses yeux étaient verts.

Il se nommait Zan Caal. Il était le fils de Ulric Caal, roi de Derilla et de Narui Caal, épouse d’Ulric. Zan soupira quant il pensa à son père. Il l’aimait évidemment. Quel fils n’aimerait pas son père ?

Mais Ulric était tellement occupé par ses fonctions de roi qu’il était rare de le voir à la maison.

Enfin ! Ce n’était pas grave, cette fois ci son père avait promis de l’emmené voler sur son speeder. Or si il y avait une chose sur lequel Ulric ne faillait jamais à sa promesse c’était bien, voler sur son engin.

-Zan ! Il va être l’heure de ta leçon d’escrime. Appela une voix féminine.

Le jeune garçon se leva et se dirigea vers la demeure qui ce situait à quelques pas.

Il fut accueillit par une femme qui possédait les yeux que lui. Sa mère. Elle lui sourit et dit

- Ton équipement est dans ta chambre.

Le garçon bougea pas pour et fixa son regard sur le sol.

-Zan ?

Elle s’accroupit et demanda avec la douceur que seule une mère pouvait offrir.

- Qu’est qu’il y’a ? C’est à cause de ton père n’est pas ?

-Tu crois qu’il viendra ? Demanda Zan d’une petite voix.

Narui le regarda et dit en le prenant dans ses bras.

- J’en suis persuadé.

Elle le berça un moment, jusqu'à ce que Zan ne brise doucement l’étreinte et ce rende dans sa chambre.

Narui le regarda partir et lorsque se son fils fut hors de vu elle murmura

-Ulric, si tu ne tiens pas ta promesse, ce soir Derilla sera privé de son roi.

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Haletant et transpirant Zan posa son épée dans son fourreau.

-Toutes mes félicitations Zan. Tu progresses remarquablement bien.

Xiron N’gae, était probablement, le seul adulte , avec sa mère, qui voyait Zan comme étant Zan et non pas, en temps que Zan, prince de sang de Derilla.

En plus d’être son professeur Xiron était aussi un ami.

-Tu devrais aller te changer, Zan. Ton père ne va pas tardé.

Zan lui sourit et fila se changer.

Il se rendit dans le hall ou l’attendait sa mère. Elle lui sourit et dit

-Viens voir mon chéri.

Zan obéit.

-Ferme les yeux.

Bien que surprit le garçon obéit. Il sentit que sa mère lui passait quelque chose autour du
cou.

-Va y. Dit t’elle.

Il les ré ouvra et un pendentif. A l’extrémité se trouvait une petite roche aplatie polie bleue qui possédait de petits cristaux blancs à chaque côtés vers le haut.

- C’est quoi ?.Demanda Zan.

- C’est une pierre très rare que l’on appelle la Générih. Elle provient d’une lointaine dont j’ignore le nom. Elle appartenait à mon grand-père. Et à présent ce pendentif est le tien.

-Merci maman. Dit Zan en l’enlaçant.

Narui sourit et lui rendit son étreinte.

-Veillez m’excusez. Dit une voix.

Narui lâcha son fils et vit un homme.

-Que puis je pour vous ?

- C’est le roi qui m’envoie. Il m’a charger de remettre ceci au prince.

La respiration de Zan s’accéléra. Non ! Il n’avait pas fais ça.

L’homme lui remit une petite boule de cristal, qui devait valoir bien cher.

Il se mit à tremblé.

-Zan. Commença Narui.

-JE LE DETESTE ! Hurla Zan en jetant la boule contre le mur le plus proche.
La boule ne fit que fissurer quant elle percuta le mur mais elle se brisa quant elle entra en contact avec le sol.

Sans demander son reste Zan s’enfuit dans sa chambre.

Narui avait des larmes aux yeux. Une fois de plus Ulric le roi de Derilla avait prit le dessus sur le père. Maintenant c’était clair et net elle allait tuer son mari.

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Dans sa chambre Zan ne cessait de répété en pleurant.

-Je le déteste. Je le déteste.

Il continua ainsi jusqu'à qu’il ne tombe endormit. Narui en trouva la porte et vit son fils endormit.

Elle soupira et le mit dans son lit. Elle caressa ses cheveux avec tendresse et posa un délicat baiser sur le front de son fils.

-Je suis tellement désolé mon chéri. Chuchota t’elle.

Doucement, elle quitta la chambre et soupira une nouvelle fois.

-Une fois de plus tu l’as déçut Ulric. Cette fois je ne laisserais pas passé.

Elle attendit dans le salon.

Il était très tard quant elle entendit son mari entrer.

Elle se leva quant Ulric entra dans la pièce. Ils restèrent là à se regarder pendant quelque secondes.

A suivre...

Elle aurait voulut lui crier les quatre vérités, mais toutefois le visage de son mari l’en dissuada.

-Ulric, commença t’elle.
-Ils refusent le traité de paix, Narui. Ils ont procréer à un coup d’état.

La reine mis la main devant sa bouche horrifiée. Elle savait que cela signifiait. Son peuple allait désormais vivre sous une dictature ou il n’aurait qu’une seule loi : Celle du plus fort.

-Il va falloir que…

Ulric ne fini pas sa phrase mais son silence était on ne pouvait plus éloquent. Il s’avança et prit sa femme dans ses bras.

-Xiron vous emmènera toi et Zan sur Coruscant, le Chancelier Suprême vous trouvera un endroit ou vous serez en sécurité.
-Viens avec nous ! Supplia Narui. Si tu reste ici ils…

Ulric embrassa tendrement sa femme et lorsque le baiser fut rompu il murmura

-Mon destin est lié à celui de mon peuple.

La reine sanglota et pleura franchement quand son mari la serra un peu plus fort.

-Dit à Zan à quel point je suis désolé. Dit lui aussi à quel point je l’aime. Laisse moi te dire
à quel point je t’aime.
-Je…Je t’aime aussi. Sanglota la femme.

Ils se regardèrent un long moment puis après un dernier baiser, Ulric s’en alla. Narui
regarda la direction qu’avait prit son mari un long moment.

-Majesté, dit Xion en sortant de l’ombre, il nous faut partir.

La reine se retourna et hocha la tête tristement.

-Allez préparé quelques affaires. Prenez le strict nécessaire. Ordonna t’elle.

Xiron s’inclina respectueusement et alla effectué sa tâche.

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Silencieusement Narui entra dans la chambre de son fils.

Qu’il était beau ! Il était si innocent quant il dormait.

Elle l’entoura d’une couette chaude et le prit dans sa bras.

-Hum ? Maman ? Demanda le petit garçon encore endormi.
-Chut ! Rendort toi mon chéri.
Zan bailla et murmura

-Je t’aime maman.
-Je t’aime aussi. Plus que ma vie. Murmura Narui en lui embrassant les cheveux.
-Majesté…Commença Xion
-Allons y.

Ils se dirigèrent le hangar royal.

-Bonjour majesté, y’a t’il que je puise faire pour vous ?. Demanda un droïde.
- Oui, X7-01. Veuillez préparez le vaisseau dans les plus bref délais.
-Oui majesté.

Le droïde alla s’acquérir de sa tâche. La reine regarda derrière elle.

-Xion.
-Oui majesté ?
-Prenez Zan.

Xion obéit et lorsqu’il vit la reine en larmes embrasser son fils, il su que quelque chose clochait.

-Majesté…
-Je dois restée.
-Mais, le roi…
-Ils nous poursuivent. Je dois vous faire gagner du temps.
-Alors laissez moi faire. Partez avec lui.
-Je ne connais rien aux vaisseaux.

Des voix hostiles commencèrent à se faire entendre.

-Allez vite ! Dit Narui. J’ai confiance en vous Xion.

Elle regarda tendrement son fils et murmura suffisamment fort pour que Xion l’entende.

-Je vous confie l’être le plus précieux de mon existence.

Xion laissa couler ses larmes et dit une voix cassée

- J’en prendrais soin autant que si il était mon propre fils.

Narui lui lança un regard reconnaissant.

-Allez !

Xion la regarda une dernière fois et alla se réfugier dans le vaisseau, avec Zan. Quelques minutes plus tard l’appareil démarra et s’en alla dans l’espace.

Narui essuya une dernière larme avant que son visage ne devienne froid. Elle prit un blaster qui traînait à terre ainsi que vibrolame dans son autre main.

Les rebelles furent à peine entrer que la femme se lança sur eux comme une furie. Elle transperça ses ennemis de sa lame et tira sur ceux hors de sa portée.

Bientôt elle fut couverte de sang mais cela ne l’arrêta aucunement.

Soudain elle s’écroula.

Elle venait de recevoir un coup de blaster au cœur.

La dernière image qu’elle eu devant ses yeux fut celle de son fils avant que tout ne devienne noir.

Bien des années avaient passé depuis cette terrible nuit.

Zan avait bien grandit !

Il avait cinq ans quand Xion l’avait emmené loin du conflit de Derrila. L’endroit ou il avait vécu les premières années de sa vie.

L’endroit ou ses parents avaient donné leur vie.

Le prince déchu était désormais devenu un soldat républicain. Il se trouvait à bord de l’Endar Spire.

L’enfant qu’il était, avait laissé place à un homme d’une vingtaine d’années. Il était assit à une table ou plusieurs hommes et femmes étaient réunis. Il était face à face à une femme, ils étaient en train de jouer au Pazzak.

-Dix-sept ! Fit la jeune femme.

Zan fit la grimace.

Plusieurs exclamations ravies, mais non méchantes, se firent entendre.

-On ne gagne pas à tous les coups Zan ! Fit la femme faisant un geste afin récupéré les mises.
-Deux secondes ! Dit Zan.

Son adversaire suspendu son geste. Zan posa ses cartes sur la table et dit

-Dix neuf !

La femme soupira, alors que Zan récupérait le pactole.

-Il nous plume à chaque fois ! Dit l’un des soldats.
-Vous saurez, maintenant, qu’il ne faut pas se frotter à Zan.

Plus tard il retourna dans sa chambre ou il se laissa tombé sur son lit, après s’être déshabillé.

Cela faisait une semaine qu’ils étaient sur l’Endar Spire.

Ils étaient en destination de Taris.

Taris !

Il avait hâte de remettre le pied sur cette planète ! Y retrouvé ses amis et surtout Rachel !

Rachel ! Sa belle et douce Rachel.

Ca allait faire presque sept mois qu’il avait quitté Taris. Cette planète était sa planète d’adoption. C’était ici qu’il avait terminé son enfance et son adolescence. Xion avait choisit cette planète afin que l’hérité des Caal, puise vivre heureux.

Fidèle à la promesse faite à Narui Xion avait élevé Zan comme son propre enfant. Le jeune homme avait été envoyé à l’école militaire conformément aux traditions de sa famille. Si le jeune homme était devenu un combattant hors paire auquel il valait mieux ne pas se frotté, il n’en était pas pour autant un soldat obéissant au doigt et à l’œil !

En effet Zan était un rebelle ! Il n’obéissait que quant ça lui chantais !

Et dans ces moments là, lorsque ses supérieurs voulaient lui donner les conséquences de ses égarements ; Zan s’en sortait avec moins de ce qu’il aurait du avoir. En effet il possédait ce charisme qui faisait de lui un manipulateur, extrêmement habille !

Son charisme l’avait aidé surmonté bien des choses ! Et de plus il avait un véritable don pour les langues ! Il comprenait et parlait la plupart des langues répertoriées dans la galaxie, même s’il parlait rarement une autre langue que le galactique, la plupart des aliens comprenant la langue officielle.

Zan eu un sourire en pensant à sa belle. C’est avec son beau visage dans son esprit qu’il s’endormit.

Lorsqu’il fut réveillé, un tremblement prenait l’Endar Spire. L’alarme d’urgence c’était déclenché !

-Génial ! Un peu d’action !

Sur ces pensés Zan tira le coffre qui se trouva sous sa couchette et l’ouvrit. Il s’habilla de son pantalon en cuire, d’une chemise noire et d’une veste en cuire également. Sur la cuisse droite se trouvait un étui à blaster. Il sortit un blaster lourd, le fit tourner de son doigt et le rangea dans l’étui. Il sortit sa vibro-lame longue. La lame étant encore dans le manche, il la rangea dans l’étui qui se trouvait sur sa hanche gauche. Et pour finir, il sortit son arme préférée : son chakram. Cette arme, c’était Xion qui le lui avait offert. Ce disque était une arme dont il ignorait l’origine. Son tuteur l’avait prévenu que seuls quelques personnes pouvait utiliser cette arme. Ou moins la rattrapé ! Mais lui, depuis la première fois qu’il l’avait lancé, réussissait sans problème. Cette arme revenait vers lui dès que son objectif était atteint. Il la rangea sur un crochet en cuire sur sa ceinture prévue à cet effet.

A peine eue t’il mit l’anneau tranchant à sa place que les portes automatiques s’ouvrirent révèlent un homme ayant a peu près la trentaine.

-L’Endar Spire est pris dans les tirs. Venez nous n’avons pas beaucoup de temps !
-Et vous êtes ?
-Je suis Trask Ulgo. Je suis votre camarade chambrée.

Les haut-parleurs mirent à résonné.

- -Ici Carth Onasi. Les sith ont capturé notre position. Nous ne tiendrons pas contre leur puissance de feu. Tout le monde sur le pont.

Trask lui expliqua que Carth était un héros de la république et qu'il valait mieux le croire lorsqu'il disait que les choses allaient mal.

-Mettons-nous en route. Dit Zan.

Ils ne purent guère aller loin puisque que quatre sith étaient sur leur chemin.

-Pour la république.dit Trask.

Zan lança son anneau qui percuta les armes de leurs ennemis. Les deux soldats profitèrent de la surprise pour tirer sur eux. En quelques secondes les sith furent vaincu.

- C’est une arme impressionnante ! Dit Trask, voyant son collègue la rattrapé.
-Et encore ! Vous n’avez pas vu tout ce qu’il peut faire.

Ils reprirent leur route. Après quelques rencontres malheureuses pour les sith ils arrivèrent au plein milieu d’un combat opposant une jedi et l’un de ses homologues obscur.

Les deux soldats ne bougèrent pas.

Que pouvaient-ils contre un jedi obscur ?

Après un dernier mouvement la jedi remporta le combat. Mais elle ne put en profité longtemps.

Une grenade atterrit à ses pieds et la tua.